Visualizzazione post con etichetta Opéra de Paris. Mostra tutti i post
Visualizzazione post con etichetta Opéra de Paris. Mostra tutti i post

domenica 24 dicembre 2023

Rudolf Noureev à l'Opéra de Paris EXPOSITION. Du 21 décembre 2023 au 5 avril 2024

Rudolf Noureev à l'Opéra de Paris

EXPOSITION Du 21 décembre 2023 au 5 avril 2024 à la Bibliothèque-musée de l'Opéra - Palais Garnier

Exposition accessible dans le cadre d'une visite du Palais Garnier - pour préparer votre visite, consultez le calendrier des fermetures exceptionnelles du Palais Garnier.

Tout au long de sa carrière brillante et itinérante, Rudolf Noureev (1938-1993) a noué avec l’Opéra de Paris et son Ballet une relation intense et féconde. 

Celle-ci commence de manière éclatante avec l’étape parisienne de la tournée européenne du Ballet du Kirov de Leningrad au cours de laquelle Noureev décide de passer à l’Ouest.

Elle est rythmée ensuite par les spectacles de l’Opéra auxquels il participe régulièrement comme Étoile invitée ; par les premières des treize ballets qu’il donne au Palais Garnier comme chorégraphe entre 1974 et 1992 ; par les six saisons qu’il organise durant son mandat de directeur de la Danse, de 1983 à 1989 ; par les créations des chorégraphes qu’il invite ; par les nominations comme Étoiles des danseurs et danseuses qu’il révèle ; par la création, enfin, de son dernier ballet, La Bayadère, en 1992, aux allures de testament.

Peu de personnalités ont marqué autant l’histoire du Ballet de l’Opéra de Paris : les grands classiques qu’il lègue à la compagnie figurent, aujourd’hui encore, parmi les plus brillants joyaux de son répertoire. À l’occasion des trente ans de la disparition du danseur, chorégraphe et directeur de la Danse, l’Opéra national de Paris et la Bibliothèque nationale de France s’associent pour rendre hommage à Noureev, explorer les différentes dimensions de sa relation avec le Palais Garnier, sa « maison », et présenter l’inestimable patrimoine que celui-ci laisse tant à la France qu’au monde de la danse.

Commissaires de l'exposition : Inès Piovesan, cheffe du service des éditions (Opéra national de Paris), Antony Desvaux, responsable des publications de la danse (Opéra national de Paris), Mathias Auclair, directeur du département de la Musique (Bibliothèque nationale de France), Benoît Cailmail, adjoint au directeur du département de la Musique (Bibliothèque nationale de France)

Scénographie et graphisme : Atelier Deltaèdre, Claire Holvoet-Vermaut et Noémie Grégoire

Le Danseur

Le 19 mai 1961, en tournée avec le Ballet du Kirov, Rudolf Noureev fait sa première apparition sur la scène du Palais Garnier dans l’acte des Ombres de La Bayadère. Son succès est fulgurant. Le public découvre alors un interprète magnétique à la danse à la fois fougueuse et sophistiquée.

Ayant choisi de rester en Occident, sa carrière devient très vite internationale et il danse sur toutes les grandes scènes d’Europe et des États-Unis. Il revient au Palais Garnier en 1966 avec l’une de ses partenaires privilégiées, Margot Fonteyn, pour danser Marguerite et Armand.

À partir de 1967, il est régulièrement invité à l’Opéra de Paris pour interpréter les grands rôles du répertoire parmi lesquels Giselle, Le Lac des cygnes, La Sylphide… aux côtés de Noëlla Pontois et Ghislaine Thesmar qui deviennent rapidement ses partenaires de prédilection. Il se fait également remarquer dans les œuvres créées par les Ballets russes comme Apollon musagète (Balanchine) ou encore Pétrouchka (Fokine).

Nommé directeur de la Danse de l’Opéra en 1983, il garde un statut particulier qui lui permet de se produire sur scène dans 40 représentations par saison. Il dansera ainsi dans tous les ballets qu’il crée ou remonte pour la Compagnie (Basilio dans Don Quichotte, Jean de Brienne dans Raymonda, Drosselmeyer dans Casse-Noisette, le prince dans Le Lac des cygnes, Mercutio dans Roméo et Juliette…).

Sensible aux autres langages chorégraphiques, Rudolf Noureev danse également dans les ballets de Roland Petit (Paradis perdu), Jerome Robbins (Afternoon of a Faun), Glen Tetley (Tristan avec Carolyn Carlson), Martha Graham (Phaedra’s dream), Pierre Lacotte (Marco Spada) ou encore Maurice Béjart dont Le Chant du compagnon errant sera le dernier ballet qu’il interprètera sur la scène du Palais Garnier, en 1990.

Le Chorégraphe

De l’œuvre chorégraphique de Rudolf Noureev se dégagent deux grands ensembles distincts : les ballets issus du seul fruit de son esprit créatif, d’une part, et ceux hérités d’illustres prédécesseurs qu’il découvre lors de son apprentissage et de ses débuts au Ballet du Kirov et pour lesquels il propose une relecture personnelle d’autre part. 

Parmi les premiers, outre Manfred (1979), La Tempête (1984) ou Washington Square (1985), la chorégraphie de Cendrillon (1986) marque particulièrement les esprits en transposant le conte de Charles Perrault dans l’univers hollywoodien des années 1930.

Les relectures d’œuvres chorégraphiques préexistantes (créées pour la plupart par Marius Petipa) telles que Don Quichotte (1981), Raymonda (1983), La Belle au bois dormant (1989) ou encore La Bayadère (1992), où se mêlent lyrisme et académisme et dans lesquelles il s’attache à développer une interprétation symbolique forte (Le Lac des cygnes en 1984, Casse-Noisette en 1985), participent en revanche pleinement de l’héritage laissé par Noureev à l’Opéra de Paris. 

Peut-être plus encore que par ses propres œuvres, c’est au travers de ces réappropriations que se dessinent les contours du « style Noureev » : une complexité technique mettant plus particulièrement en lumière la virtuosité des interprètes masculins ainsi que des décors et costumes somptueux imaginés par des artistes de renom (Nicholas Georgiadis, Hanae Mori, Franca Squarciapino, Petrika Ionesco…).

...Continuez à lire >> ici

source: www.operadeparis.fr

sabato 12 giugno 2021

Danza: Eleonora Abbagnato saluta l’11 giugno l’Opéra de Paris con “Hommage à Roland-Petit”

Eleonora Abbagnato, Défile de l’Opéra national de Paris – ph.Julien Benhamou
 Dopo l’annuncio della riapertura dei luoghi culturali il 19 maggio, la direzione dell’Opera di Parigi annuncia la ripresa delle sue rappresentazioni pubbliche all’Opéra Bastille e Garnier.

 Per gli amanti del balletto, le esibizioni dello spettacolo Hommage à Roland-Petit , coreografo e ballerino francese, inizieranno il 28 maggio al Palais Garnier fino al 7 luglio, ed è proprio in questa occasione, precisamente l’11 giugno che l’étoile Eleonora Abbagnato, fiore all’occhiello della danza italiana, saluterà il suo pubblico, dopo una lunga e strepitosa carriera. Infine, i Montecchi ei Capuleti dedicheranno un odio senza precedenti nel balletto Romeo e Giulietta di Rudolf Nureyev , sul palco dell’Opéra Bastille dal 10 giugno al 10 luglio.

 

La riapertura dell’Opera di Parigi, così come i suoi numerosi programmi, segna l’inizio di una rinascita. Alexander Neef , il suo nuovo direttore da settembre, ha annunciato la partenza del suo direttore musicale Philippe Jordan , in carica da quasi dieci anni. Si congederà dal pubblico il 2 luglio durante un concerto eccezionale , tenuto all’Opéra Bastille. Sarà sostituito da Gustavo Dudamel, un rinomato direttore d’orchestra venezuelano.

Eleonora Abbagnato e la sua carriera

Nata a Palermo il 30 giugno 1978, Eleonora Abbagnato inizia giovanissima la sua carriera come ballerina: a soli 11 anni fa il suo esordio in tv ballano in un programma condotto da  Successivamente coltiva la sua passione per il ballo studiando nelle più prestigiose scuole di danza francesi. Audizioni, impegno e bravura le permettono di fare le sue prime tournée fino ad entrare definitivamente nel corpo di ballo dell’Opéra di Parigi. Qui, dal 1996 (appena diplomata) al 2001, fa una rapida carriera fino a diventare prima ballerina. Ha inoltre esordito come attrice nel 2006 nel film “Il 7 e l’8” di Salvatore Ficarra e Valentino Picone.

Nel 2009 partecipa come ospite in una delle serate del Festival di Sanremo 2009. Nel novembre dello stesso anno pubblica per Rizzoli la sua autobiografia “Un angelo sulle punte”. Il 13 giugno 2011 Eleonora Abbagnato si unisce in matrimonio con Federico Balzaretti, calciatore del Palermo e della Nazionale italiana. Nel gennaio del 2012 diventa mamma (aveva continuato a danzare fino al quinto mese di gravidanza): la figlia della coppia si chiama Julia. Alla fine del mese di marzo del 2013 è nominata étoile dell’Opera di Parigi: è la prima volta per una danzatrice italiana nella storia di Palais Garnier.

fonte:  Redazione https://giornaledelladanza.com

lunedì 28 settembre 2020

L’Opéra de Paris in gravi difficoltà, cancellate 239 date per il Covid19

Se in Italia i teatri si preparano a riaprire, in Francia la situazione è più difficile. 

A Parigi i due teatri dell’Opéra National de Paris, il Palais Garnier e l’Opéra Bastille, riapriranno soltanto a novembre e a dicembre. 

Un anno difficile per il mondo teatrale parigino, iniziato con le proteste delle maestranze teatrali per la riforma delle pensioni voluta dal precedente governo di Édouard Philippe e proseguito con l’epidemia di coronavirus che ha costretto a cancellare ben 239 serate negli ultimi 9 mesi.

«L’Opera è in ginocchio: abbiamo 45 milioni di debiti. Rischiamo di non avere più soldi a fine 2020», ha dichiarato il direttore dell’Opéra National Stephane Lissner a Le Monde.

Un incarico che lascerà a inizio 2021, 6 mesi prima della scadenza, ad Alexander Reef, direttore della Canadian Opera Company, quando entrambi i teatri avranno già ripreso la loro attività. «L’Opéra Bastille rimarrà chiusa fino al 15 novembre e riprenderà con tre spettacoli alternati: un balletto, La Bayadère, e due opere, La Traviata e la Carmen. Il Palais Garnier invece subirà alcuni lavori di ammodernamento e da Capodanno ripartiranno le serate».

fonte:   Redazione www.giornaledelladanza.com

venerdì 12 giugno 2020

Culture: Secoué par la grève et l'épidémie de coronavirus, l'Opéra de Paris ferme ses portes pour travaux à l'automne

La vénérable institution vient de vivre une année de crise inédite. photo: Le plafond de l'Opéra Garnier à Paris, peint par Marc Chagall, avec son célèbre lustre. (XOSE BOUZAS / HANS LUCAS)

L'Opéra de Paris, secoué cette année par une grave crise en raison de la grève sur la réforme des retraites, suivie de l'épidémie du coronavirus, va fermer à l'automne pour travaux, a annoncé le ministère de la Culture jeudi 11 juin. Le ministère a également indiqué que le directeur sortant de la plus grande maison d'Europe, Stéphane Lissner, quitterait ses fonctions fin décembre, soit six mois avant l'échéance initialement prévue de son mandat.

 

"L'Opéra de Paris est à genoux"

Dans un communiqué, l'institution tricentenaire indique pour sa part qu'en raison des travaux (initialement prévus à l'été 2021), le palais Garnier restera fermé jusqu'à décembre, tandis que l'Opéra Bastille le sera jusqu'au 24 novembre, entraînant l'annulation des opéras et ballets pendant cette période. "Au terme d'une année de crise inédite", le ministre de la Culture Franck Riester a confié au successeur de M. Lissner, Alexandre Neef, la mission de proposer dès l'automne 2020 des orientations "pour maintenir l'excellence et le rayonnement" de la maison.
Et signe des changements radicaux qui s'annoncent pour l'une des plus prestigieuses maisons d'opéras du monde et de la mission ardue qui attend M. Neef, le ministre l'a chargé de revisiter le "modèle économique, social et organisationnel" de l'Opéra afin "d'assurer les conditions d'une exploitation équilibrée".
Dans un entretien diffusé jeudi dans Le Monde, M. Lissner annonçait son départ avant le terme "pour qu'il n'y ait plus qu'un seul patron à bord" à partir de janvier 2021, précisant que la maison n'aura probablement "plus de fonds de roulement d'ici fin 2020" et que "l'urgence de la situation économique va exiger des prises de décision drastiques et immédiates, qui auront un impact social important". "Nous affichons 40 millions d'euros de dettes et l'Opéra de Paris est à genoux", a-t-il notamment déclaré.

 

Reprise à Bastille avec "La Bayadère"

2020 a été un "annus horribilis" pour l'Opéra avec en décembre et janvier une grève historique de son personnel contre la réforme des régimes spéciaux préconisée par le gouvernement, entraînant plusieurs dizaines d'annulations et des pertes de billetterie de millions d'euros. Et à peine la réouverture entamée que la pandémie du Covid-19 a frappé, entraînant la fermeture de l'Opéra et de l'ensemble des théâtres depuis la mi-mars.
Stéphane Lissner, qui a été nommé au Théâtre San Carlo de Naples, a indiqué que la réouverture de Bastille se ferait avec un ballet classique, La Bayadère, et deux reprises d'opéras, La Traviata et Carmen. Son plus grand projet pour sa dernière saison, le Ring de Wagner (une trétralogie ambitieuse que devait monter Calixto Bieito), tombe à l'eau.
fonte: Rédaction CultureFrance Télévisions www.francetvinfo.fr