martedì 26 dicembre 2023

Libri: Alfred Polgar "Marlene Ritratto di una dea"

A metà degli anni Venti in un teatro viennese anda­va in scena Broadway, una dark comedy impreziosita da «cinque signorine elegantemente svestite». 

Tra queste, ne spiccava una «di strana e avvincente bel­lezza», che «sbrigava la sua parte con una sorta di bal­danzosa bravura». Alfred Polgar, che era tra il pubbli­co, ne rimase folgorato. 

Tanto che a distanza di anni – quando quell’attrice, assurta a fama mondiale, era ormai diventata il simbolo stesso del divismo cine­matografico – scrisse questo ritratto ispirato, vera e propria ecfrasi dell’opera d’arte vivente che era Marlene Dietrich. 

Con quella leggerezza di tocco che lo aveva reso celebre nella Vienna di inizio Novecen­to, Polgar dipinge magistralmente i tratti che hanno fatto di Dietrich un fenomeno unico: un viso «che parla non solo all’occhio ma anche allo spirito»; una voce «in cui verità e illusione coesistono in maniera sconcertante», e che «esercita una fortissima magia erotica»; il portamento inconfondibile di chi «ha la musica dentro» – e una personalità che si riflette nei personaggi da lei interpretati: «donne per le quali l’amore è l’aria che respirano, la rinuncia un pecca­to contro natura, l’infedeltà un imperativo della fe­deltà che esse serbano al proprio io». 

Alfred Polgar "Marlene Ritratto di una dea"
Traduzione di Maria Letizia Travo
A cura, e con un saggio, di Ulrich Weinzierl 

IN COPERTINA
Marlene Dietrich ritratta da William Walling.
copyright deutsche kinemathek - marlene dietrich collection berlin
 
fonte: www.adelphi.it 

Libri: "The modern gentleman" di Meghan Quinn

Quando si tratta di approcciarsi al gentil sesso, Wesley Waldorf Williams è l'apoteosi del perfetto gentiluomo: sempre curato e ben vestito, è educato, galante, paziente e sa come comportarsi in ogni occasione. 

E di quest'arte ne ha fatto un lavoro, fino a diventare l’editorialista più famoso di New York con il suo personaggio del Moderno Gentiluomo, un faro per tutti gli aspiranti gentiluomini di New York che leggono i suoi articoli e i suoi consigli su un famoso sito web. 

La vita impeccabilmente organizzata di Wes, tuttavia, inizia a complicarsi quando il suo capo lo obbliga a cimentarsi in un esperimento sociale: il Moderno Gentiluomo dovrà conoscere una ragazza e sfoderare tutte le sue tecniche raffinate per indurla a cadere ai suoi piedi e conquistarla. 

Wes ha solo pochi giorni per trovare una candidata ed è a questo punto che arriva l’incontro fortuito con June: una bizzarra attrice di Broadway bella da mozzare il fiato, spiritosa, eccentrica al punto da non utilizzare i social network, brutalmente onesta. E per nulla intenzionata a cedere al corteggiamento e ai modi affascinanti di Wes. 

E così, tra appuntamenti comici e situazioni imbarazzanti, visite al pronto soccorso e passeggiate con un cagnolino da un orecchio solo, il nuovo progetto del Moderno Gentiluomo comincia a prendere corpo. Ma che ne sarà del suo cuore ormai coinvolto quando June scoprirà che in realtà lei è la protagonista dei suoi articoli?

fonte: www.amazon.it

domenica 24 dicembre 2023

Rudolf Noureev à l'Opéra de Paris EXPOSITION. Du 21 décembre 2023 au 5 avril 2024

Rudolf Noureev à l'Opéra de Paris

EXPOSITION Du 21 décembre 2023 au 5 avril 2024 à la Bibliothèque-musée de l'Opéra - Palais Garnier

Exposition accessible dans le cadre d'une visite du Palais Garnier - pour préparer votre visite, consultez le calendrier des fermetures exceptionnelles du Palais Garnier.

Tout au long de sa carrière brillante et itinérante, Rudolf Noureev (1938-1993) a noué avec l’Opéra de Paris et son Ballet une relation intense et féconde. 

Celle-ci commence de manière éclatante avec l’étape parisienne de la tournée européenne du Ballet du Kirov de Leningrad au cours de laquelle Noureev décide de passer à l’Ouest.

Elle est rythmée ensuite par les spectacles de l’Opéra auxquels il participe régulièrement comme Étoile invitée ; par les premières des treize ballets qu’il donne au Palais Garnier comme chorégraphe entre 1974 et 1992 ; par les six saisons qu’il organise durant son mandat de directeur de la Danse, de 1983 à 1989 ; par les créations des chorégraphes qu’il invite ; par les nominations comme Étoiles des danseurs et danseuses qu’il révèle ; par la création, enfin, de son dernier ballet, La Bayadère, en 1992, aux allures de testament.

Peu de personnalités ont marqué autant l’histoire du Ballet de l’Opéra de Paris : les grands classiques qu’il lègue à la compagnie figurent, aujourd’hui encore, parmi les plus brillants joyaux de son répertoire. À l’occasion des trente ans de la disparition du danseur, chorégraphe et directeur de la Danse, l’Opéra national de Paris et la Bibliothèque nationale de France s’associent pour rendre hommage à Noureev, explorer les différentes dimensions de sa relation avec le Palais Garnier, sa « maison », et présenter l’inestimable patrimoine que celui-ci laisse tant à la France qu’au monde de la danse.

Commissaires de l'exposition : Inès Piovesan, cheffe du service des éditions (Opéra national de Paris), Antony Desvaux, responsable des publications de la danse (Opéra national de Paris), Mathias Auclair, directeur du département de la Musique (Bibliothèque nationale de France), Benoît Cailmail, adjoint au directeur du département de la Musique (Bibliothèque nationale de France)

Scénographie et graphisme : Atelier Deltaèdre, Claire Holvoet-Vermaut et Noémie Grégoire

Le Danseur

Le 19 mai 1961, en tournée avec le Ballet du Kirov, Rudolf Noureev fait sa première apparition sur la scène du Palais Garnier dans l’acte des Ombres de La Bayadère. Son succès est fulgurant. Le public découvre alors un interprète magnétique à la danse à la fois fougueuse et sophistiquée.

Ayant choisi de rester en Occident, sa carrière devient très vite internationale et il danse sur toutes les grandes scènes d’Europe et des États-Unis. Il revient au Palais Garnier en 1966 avec l’une de ses partenaires privilégiées, Margot Fonteyn, pour danser Marguerite et Armand.

À partir de 1967, il est régulièrement invité à l’Opéra de Paris pour interpréter les grands rôles du répertoire parmi lesquels Giselle, Le Lac des cygnes, La Sylphide… aux côtés de Noëlla Pontois et Ghislaine Thesmar qui deviennent rapidement ses partenaires de prédilection. Il se fait également remarquer dans les œuvres créées par les Ballets russes comme Apollon musagète (Balanchine) ou encore Pétrouchka (Fokine).

Nommé directeur de la Danse de l’Opéra en 1983, il garde un statut particulier qui lui permet de se produire sur scène dans 40 représentations par saison. Il dansera ainsi dans tous les ballets qu’il crée ou remonte pour la Compagnie (Basilio dans Don Quichotte, Jean de Brienne dans Raymonda, Drosselmeyer dans Casse-Noisette, le prince dans Le Lac des cygnes, Mercutio dans Roméo et Juliette…).

Sensible aux autres langages chorégraphiques, Rudolf Noureev danse également dans les ballets de Roland Petit (Paradis perdu), Jerome Robbins (Afternoon of a Faun), Glen Tetley (Tristan avec Carolyn Carlson), Martha Graham (Phaedra’s dream), Pierre Lacotte (Marco Spada) ou encore Maurice Béjart dont Le Chant du compagnon errant sera le dernier ballet qu’il interprètera sur la scène du Palais Garnier, en 1990.

Le Chorégraphe

De l’œuvre chorégraphique de Rudolf Noureev se dégagent deux grands ensembles distincts : les ballets issus du seul fruit de son esprit créatif, d’une part, et ceux hérités d’illustres prédécesseurs qu’il découvre lors de son apprentissage et de ses débuts au Ballet du Kirov et pour lesquels il propose une relecture personnelle d’autre part. 

Parmi les premiers, outre Manfred (1979), La Tempête (1984) ou Washington Square (1985), la chorégraphie de Cendrillon (1986) marque particulièrement les esprits en transposant le conte de Charles Perrault dans l’univers hollywoodien des années 1930.

Les relectures d’œuvres chorégraphiques préexistantes (créées pour la plupart par Marius Petipa) telles que Don Quichotte (1981), Raymonda (1983), La Belle au bois dormant (1989) ou encore La Bayadère (1992), où se mêlent lyrisme et académisme et dans lesquelles il s’attache à développer une interprétation symbolique forte (Le Lac des cygnes en 1984, Casse-Noisette en 1985), participent en revanche pleinement de l’héritage laissé par Noureev à l’Opéra de Paris. 

Peut-être plus encore que par ses propres œuvres, c’est au travers de ces réappropriations que se dessinent les contours du « style Noureev » : une complexité technique mettant plus particulièrement en lumière la virtuosité des interprètes masculins ainsi que des décors et costumes somptueux imaginés par des artistes de renom (Nicholas Georgiadis, Hanae Mori, Franca Squarciapino, Petrika Ionesco…).

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source: www.operadeparis.fr

lisadelgreco.blogspot.com Augura a tutti isuoi lettori, buone feste

Buon Natale...
A chi si sente solo
a chi ha la gioia nel cuore,
a chi vorrebbe essere amato

A chi vorrebbe donare,
a chi ha sbagliato
a chi vorrebbe volare.

A chi è in guerra
a chi si sente in pace
a chi soffre in silenzio
a chi sa perdonare.

A chi non ha occhi per vedere
a chi sa ascoltare

A chi ha una meravigliosa famiglia
a chi è lontano dalla sua terra
a chi ha degli amici
a chi invece ne vorrebbe da amare.

A chi desidera una casa per vivere questo Natale...
Per un Natale di Festa soprattutto dentro di noi...

Auguri agli oltre 970mila lettori
dall'Italia e dal resto del mondo, del nostro Blog (970,149 nel momento in cui scriviamo, numero in costante aumento)
Lisa Del Greco

Feliz Navidad, Merry Christmas, Joyeux Noël, Frohe Weihnachten, God Jul, 聖誕快樂, メリークリスマス, Vrolijk kerstfeest, Giáng Sinh vui vẻ, Veselé Vánoce, Feliz Natal, 성탄을 축하드려요, Wesołych Świąt, Срождеством!, Hyvää joulua
 
fonte: http://lisadelgreco.blogspot.it

domenica 17 dicembre 2023

Firenze: riapre il Museo della Moda e del Costume di Palazzo Pitti con un nuovo allestimento.

 >>> Riapre il Museo della Moda e del Costume con un nuovo allestimento.

Il Museo della Moda e del Costume (già noto come "Galleria del Costume") è situato nella Palazzina della Meridiana, addossata all’ala meridionale di Palazzo Pitti. L’edificio, iniziato sotto Pietro Leopoldo di Lorena dall’architetto Gaspero Maria Paoletti nel 1776 - e completato nel 1830 da Pasquale Poccianti per volontà di Leopoldo II di Lorena, prende il nome dallo strumento astronomico realizzato da Vincenzo Viviani nel 1699, situato nel vestibolo dell’allora appartamento del Gran Principe Ferdinando de’ Medici, nella cui volta, dove è praticato il foro gnomonico, Anton Domenico Gabbiani aveva raffigurato l’Allegoria del tempo e delle Arti (1693). 

Tutte le dinastie che si sono succedute, dai Lorena ai Savoia, passando attraverso la reggenza di Maria Luisa di Borbone Parma e il breve regno di Elisa Baciocchi, hanno lasciato la loro impronta nell’arredo e nell’apparato decorativo delle pitture murali. Fondato nel 1983, esso costituisce costituisce il primo museo statale italiano dedicato alla storia della moda e alla sua valenza sociale. Nel complesso, la collezione di opere ospitate, esposte a turno secondo una rotazione adottata per ragioni di conservazione, comprende abiti e accessori di moda dal XVIII secolo ad oggi, oltre a biancheria intima, gioielli e bigiotteria, e un affascinante corpus di abiti di scena di celebri film, opere di teatro e di lirica - a firma di grandi registi del Novecento - indossati da star del cinema e dello spettacolo, italiane e internazionali. Fra i costumi antichi si annoverano gli abiti funebri cinquecenteschi di Cosimo I de’ Medici, Eleonora di Toledo e del figlio don Garzia, esposti in permanenza dopo un complesso restauro.

Dodici sale con una selezione di oltre 50 abiti e tanti accessori

Ci sono il teatrale ‘mantello-kimono’ creato da Mariano Fortuny per Eleonora Duse, la tunica ‘flapper’ anni Venti di Chanel, lo splendore delle paillettes della mise indossata da Franca Florio e gli abiti da sera sgargianti di Elsa Schiaparelli, fino al lusso regale delle creazioni di Emilio Schubert, il sarto delle dive negli anni Cinquanta (celebri i suoi capi per Gina Lollobrigida e Sophia Loren). 

E ancora, le stravaganze geometriche del vestito di Patty Pravo ideato nei primi Ottanta da Gianni Versace, la sensualità essenziale della guaina nera firmata Jean Paul Gaultier e resa celebre da Madonna, l’allure da sogno della collezione di Gianfranco Ferré per Dior negli anni Novanta. 

La storia del gusto nella moda nel secolo dai mille stili, il Novecento, insieme a quella dei primi anni del millennio attuale (in mostra pezzi di Miuccia Prada, Giorgio Armani, John Galliano), è esposta e raccontata attraverso una selezione di capolavori nel rinnovato Museo della Moda e del Costume di Palazzo Pitti, riaperto oggi dopo una chiusura triennale dovuta prima al Covid e quindi ad un complesso lavoro di riallestimento. 

12 nuove sale (più l’ottocentesco Saloncino da Ballo), tornano ad essere visitabili a quarant’anni dalla fondazione di questa straordinaria sezione delle Gallerie (sterminata la raccolta, formata da oltre 15mila pezzi dal Cinquecento ad oggi). Si inizia con una selezione di oltre 50 abiti tra quelli che ne costituiscono il vanto, corredati da una sontuosa scelta di scarpe, cappelli ed altri accessori. L’inaugurazione di oggi costituisce il primo atto del rinnovo totale del Museo della Moda e del Costume: in primavera, infatti, saranno pronte per i visitatori altre dieci sale, con in mostra i più suggestivi costumi della nobiltà e aristocrazia dal Cinquecento all’Ottocento, insieme ad una sala interamente dedicata ai gioielli.

Museo della Moda e del Costume di Palazzo Pitti

Orario di apertura

Dal martedì alla domenica dalle ore 8.15 alle ore 18.30. Chiuso il lunedì

Ingresso con il biglietto valido per la visita a Palazzo Pitti

fonte: www.uffizi.it

lunedì 11 dicembre 2023

Libri: "101 riflessioni che cambiano il tuo modo di pensare" di Brianna Wiest

«Se ci sforzassimo di considerare i problemi come mattoni per costruire una vita migliore, usciremmo finalmente dal labirinto della sofferenza e faremmo una scoperta meravigliosa: la felicità.»

Alzi la mano chi non ha mai dovuto superare un momento difficile o la fine di una storia d'amore, chi non si è mai sentito scoraggiato, demotivato o insicuro, chi non si è mai chiesto come smettere di crearsi problemi e poter finalmente raggiungere la felicità. La soluzione è più semplice di quanto si potrebbe credere: secondo la seguitissima giornalista Brianna Wiest, il trucco è ribaltare la prospettiva, imparando a vedere le difficoltà e gli ostacoli come opportunità di crescita e di conoscenza di sé. 

Solo così si riesce a trasformare la sofferenza in un'occasione per migliorarsi e prendere in mano la propria vita, rivoluzionandola giorno dopo giorno. Con la voce amichevole di chi ci è passato, Brianna parla delle insicurezze e dei dubbi di ciascuno di noi: in questo viaggio alla scoperta del potere della mente, ci svela i comportamenti inconsci che ci impediscono di realizzarci, ci insegna a coltivare l'intelligenza emotiva, ci invita a superare i nostri limiti e a trarre il meglio dalle cose semplici e inaspettate. 

Nell'estate del 2021, 101 riflessioni che cambiano il tuo modo di pensare è diventato un successo internazionale del passaparola, conquistando migliaia di lettrici e lettori in tutto il mondo: un libro ricco di suggerimenti e spunti, consigliato come lettura imprescindibile da testate come Forbes e Cosmopolitan.

101 riflessioni che cambiano il tuo modo di pensare di Brianna Wiest, traduzione di Luana Basconi 

Brianna Wiest è un’autrice, poetessa e giornalista americana. È seguitissima su Instagram, Twitter e TikTok e collabora con numerose testate, tra cui Forbes, Usa Today e The Huffington Post. I suoi articoli sulla spiritualità e sull’intelligenza emotiva hanno conquistato migliaia di lettori in tutto il mondo, così come i suoi libri. 101 riflessioni che cambiano il tuo modo di pensare (edito da Sonzogno nel 2022) è diventato un fenomeno del passaparola, raggiungendo in pochi mesi i primi posti in classifica e ricevendo ottime recensioni. Forbes l'ha definito un libro "imperdibile" per salire di livello e Cosmopolitan lo ha inserito al secondo posto nella lista delle "letture più motivanti".

fonte: www.lafeltrinelli.it

INPS/ENPALS > Lavoratori dello spettacolo: al via l’indennità di discontinuità

Lavoratori dello spettacolo: al via l’indennità di discontinuità
 
È possibile presentare la domanda per accedere alla nuova misura entro il 15 dicembre 2023. 

Prende il via l’indennità di discontinuità per i lavoratori dello spettacolo.

Con il decreto legislativo 30 novembre 2023, n. 175 (rubricato “Riordino e revisione degli ammortizzatori e delle indennità e per l’introduzione di un’indennità di discontinuità in favore dei lavoratori del settore dello spettacolo”) è introdotta un’indennità di discontinuità in favore dei lavoratori del settore dello spettacolo, alla luce della specificità delle prestazioni di lavoro in questo settore e del loro carattere strutturalmente discontinuo.

L’indennità di discontinuità è prevista – in via strutturale e permanente – con decorrenza dal 1° gennaio 2024. La domanda dovrà essere presentata entro il 30 marzo di ciascun anno.

In via transitoria, lo stesso decreto legislativo prevede la possibilità, per i potenziali beneficiari della misura, di presentare la domanda riferita all’anno di competenza 2023 entro il 15 dicembre 2023.

A tal fine, la domanda può essere presentata in modalità telematica dal 4 dicembre 2023, tramite servizio online o accedendo al “Punto d’accesso alle prestazioni non pensionistiche” (una volta autenticati è necessario selezionare “Indennità di discontinuità a favore dei lavoratori dello spettacolo”).

In alternativa, l’indennità può essere richiesta tramite il servizio di Contact Center multicanale, telefonando al numero verde 803 164 da rete fissa (gratuitamente) oppure al numero 06 164164 da rete mobile (a pagamento, in base alla tariffa applicata dai diversi gestori). È possibile presentare domanda anche attraverso i patronati.

La platea dei beneficiari, i requisiti, la durata, il calcolo e la misura della prestazione sono definiti dallo stesso decreto legislativo 175/2023.

Per maggiori dettagli è possibile consultare il messaggio 4 dicembre 2023, n. 4332, con le prime indicazioni operative, cui seguirà la specifica circolare attuativa. 

Info QUI

Questa iniziativa è valorizzata in sinergia con il Ministero della Cultura.

fonte: www.inps.it

Prosa: "Paolo Sorrentino vieni devo dirti una cosa" di e con Giuseppe Scoditti. Dal 14 al 16 Dicembre al Teatro Fontana di Milano

Tutto quello che avrei sempre voluto dire a Sorrentino ma che non ho mai osato dirgli.

Il giovane talento comico Giuseppe Scoditti (ideatore del format Contenuti Zero, attore nella trasmissione di Rai 2 Bar Stella e nell’ultimo film di Nanni Moretti) con un racconto che, pur partendo dal mondo dello spettacolo, diventa una storia universale sulla forza dei sogni, sulla difficoltà, soprattutto per le nuove generazioni, di realizzare i propri obiettivi e le proprie ambizioni. 

Tra diversi linguaggi che spaziano dal cinema, alla stand up, alla performance e al teatro di prosa, Scoditti esplora la realtà attraverso la satira, facendo divertire e riflettere il pubblico nel raccontare i paradossi della contemporaneità.

Nel 2018 ho fatto un provino per un film di Paolo Sorrentino – spiega Scoditti – E non sono stato preso. Adesso vorrei dire delle cose a Paolo. Tutto quello che non gli ho detto dopo quel no. Questo spettacolo nasce esclusivamente per questo motivo.

La grandezza è solo qualcosa che abbiamo inventato.
Siamo arrivati a credere che la grandezza sia un dono riservato solo a pochi eletti, ai prodigi
alle superstar.
E che il resto di noi può solo stare a guardare.
Ma la verità è che la grandezza è per tutti noi.
Non si tratta di abbassare le aspettative, si tratta di aumentarle per ognuno di noi.
Perché la grandezza non è nascosta in un posto speciale o in una persona speciale.
La grandezza è ovunque qualcuno cerchi di trovarla.
Se la grandezza non bussa alla tua porta forse dovresti andare tu a bussare alla sua.
Non è una questione di grandi discorsi, di trionfi, di luci brillanti.
Ma di sogni.
Folli.
E se le persone dicono che i tuoi sogni sono folli, se ridono per quello che pensi di poter fare, tu lasciali fare.
Perché quello che non riescono a capire è che chiamare folle un sogno non è un insulto.
È un complimento.

Non chiederti se i tuoi sogni sono folli
chiediti se sono folli abbastanza.

Trailer  >> PAOLO SORRENTINO VIENI DEVO DIRTI UNA COSA

PAOLO SORRENTINO VIENI DEVO DIRTI UNA COSA
il nuovo spettacolo di Giuseppe Scoditti
con la regia di Gabriele Gerets Albanese
light designer Cristian Allegrini
contributi video Giacomo Scoditti
produzione Teatri di Bari

>>> INFO QUI

fonte: https://teatrofontana.it  Locandina definitiva di Gerets

mercoledì 6 dicembre 2023

Teatro > Il Canto lirico italiano è patrimonio dell'umanità

La proclamazione avvenuta per acclamazione in Botswana  

Il Comitato per il Patrimonio immateriale dell'Unesco ha proclamato la pratica del canto lirico italiano a elemento del patrimonio immateriale dell'umanità.

La proclamazione è avvenuta per acclamazione in occasione della riunione dei paesi membri del Comitato in Botswana.

"E' un traguardo importantissimo - commenta Assolirica - conseguito dopo un lungo percorso avviato nel 2011 quando i cantanti lirici solisti si costituirono in un'associazione denominata Cantori Professionisti d'Italia col fine di riunire la categoria e permettere un confronto professionale su un ampio ventaglio di problematiche, a partire dalla difesa e la diffusione del valore della musica e più specificatamente del teatro d'opera quale eccellenza e patrimonio della cultura della Repubblica Italiana. Fu proprio il dialogo interno a questa comunità ad accendere quella scintilla che avrebbe portato all'elaborazione di una prima bozza di dossier per candidare l'Opera lirica italiana alla commissione Unesco".  

"Dopo un lungo e articolato lavoro, una grande eccellenza della nostra nazione ottiene un altro riconoscimento dall'Unesco entrando a far parte del patrimonio immateriale. Si tratta di una consacrazione ufficiale di quello che già sapevamo: il Canto lirico è un'eccellenza mondiale, tra quelle che meglio ci rappresentano in tutto il pianeta. È una proiezione dell'immaginario italiano per il quale stiamo lavorando su più fronti. Ringrazio il sottosegretario Gianmarco Mazzi per l'impegno che ha profuso nel concludere positivamente la candidatura. Questa bella notizia si associa alla firma dell'ipotesi dello schema di rinnovo del contratto delle Fondazioni lirico sinfoniche, che da 20 anni non veniva rinnovato" ha dichiarato il ministro della Cultura, Gennaro Sangiuliano.

"Questo è un riconoscimento molto importante e significativo per il mondo dell'Opera, su cui noi come ministero stiamo lavorando molto" ha detto il sottosegretario alla Cultura, Gianmarco Mazzi. "Questo
-aggiunge-  è un riconoscimento ai 400 anni di storia del canto lirico italiano e a una forma d'arte che tra i vari significati ha anche quello di portare la lingua italiana in giro per il mondo, tenendo viva la nostra lingua ". 

fonte: Redazione ANSA  www.ansa.it  RIPRODUZIONE RISERVATA © Copyright ANSA - Tutti i diritti riservati

IL 7-8-9 dicembre DRUSILLA FOER in CONCERTO AL BLUE NOTE di MILANO con la sua big band!

DRUSILLA FOER in concerto al Blue Note
Il 7-8-9 dicembre al Blue Note di Milano Drusilla Foer, accompagnata da una band di sei elementi e dai cori delle Blue Doll’s, presenta dal vivo le canzoni del suo album DRU, in un live intimo e irrinunciabile. 

Milano, 6 dicembre 2023 – Drusilla Foer, per celebrare la sua dichiarata e indiscussa passione musicale, ha scelto niente meno che il Blue Note di Milano per i suoi unici concerti, il 7, 8 e 9 dicembre prossimi. Accompagnata sul palco da sei musicisti e dal trio vocale delle Blue Doll’s, canterà dal vivo i brani contenuti nel suo primo album DRU, uscito il 6 ottobre scorso e presentato in anteprima la sera precedente in una special night indimenticabile sempre al Blue Note. Durante il live, in una dimensione intima che esalta la complicità che Drusilla ama condividere con il pubblico, non mancherà qualche sorpresa o qualche canzone extra, scelta fra i classici che ama di più. I biglietti per i concerti sono in vendita su > Ticketone.

 

Pubblicato da BMG e prodotto da Best Sound, la storica etichetta di Franco Godi che del disco cura personalmente la direzione artistica e gli arrangiamenti, DRU contiene tredici tracce, di cui dodici canzoni inedite, firmate da autori eccelsi di tante generazioni diverse, fra i quali Pino Donaggio e Maurizio PiccoliPacifico e Vittorio Cosma, Mariella Nava, Giovanni Caccamo,Mogol e Donida, Tricarico e Luca Rossetti.Ognuno di loro ha creato piccoli quadri su temi diversi – l’amore naturalmente, ma anche la guerra, l’avversione per il pregiudizio e altri temi da sempre cari all’interprete - con grandi aperture sonore, in uno spettro emotivo nel quale Drusilla si è saputa riconoscere.

 

Oltre a loro, Ditonellapiaga e Fabio Ilacqua, autori di nuova generazione fra i più ricercati, che hanno composto i due brani che in giugno e in settembre hanno offerto anticipazioni dell’album apparentemente opposte fra loro: la prima ha firmato Io ne voglio Ancora, elegante divertissement in chiave dance e dichiarazione di libertà e amore per la musica e per la vita che Drusilla ha cantato in duetto con Asia Argento. Il secondo - già autore di alcuni grandissimi successi di Gabbani, Mengoni, Mina, Celentano, Vanoni - ha composto per Drusilla Tanatosi, un brano dirompente sia nel tema – quello della violenza e della sopraffazione che richiedono un atto estremo di resilienza per restare aggrappati alla vita – sia nelle parole che la voce incide con la precisione di una lama su una musica dal crescendo ossessivo con inattese aperture melodiche carezzevoli, sia per il video dall’impatto emotivo travolgente che lo accompagna. La produzione musicale di Tanatosi, come di altri brani dell’album (Moon in ChampagneAmami se puoiDa questa parte), è di Fausto Cogliati, collaboratore storico di Franco Godi.

 

C’è un secondo duetto in DRU, su un brano ancheggiante, divertente e scanzonato: si tratta di Amore… Boh! e non poteva che portare la firma di Franco Godi per la musica, dal sapore brasiliano, nonché la sua voce in alternanza a quella di Drusilla, mentre il testo è di Gianluca Gori. Nella tracklist anche due extravaganze: l’inedito Buonanotte Rossana, brano di Lelio Luttazzicolmo di delicatezza e sentimento, nel quale la voce di Drusilla si accompagna a un’esecuzione originale al piano del Maestro scomparso nel 2010, e Giorno ad Urlapicchio, non una canzone ma una poesia avvolgente e giocata sull’onomatopea scritta da Fosco Maraini, padre di Dacia e indimenticato antropologo e scrittore toscano.

 

Le sonorità fuori dal tempo, eleganti, ricche di sfumature - e lontane da qualunque indulgenza verso tendenze musicali alla moda – sono la cifra stilistica di DRU, a proposito del quale la sua interprete scrive: “La musica è il mio grande amore, davanti al quale sono stata sempre in piedi, con lo sguardo arreso di chi è disposto a non essere corrisposto, cercando solo di non arrossire. Un bell’amore, irrorato di pudore e di coraggio, di rabbia e calma, di note giuste e sbagliate, di respiri, pensieri, sorrisi e civetteria. Cantare mi fa essere me, con facilità, intimità, con perdono per ciò che sono”. 

 

Nell’introduzione a DRU, la cantante dedica “questo miracolo” al prezioso amico Franco Godi, il produttore e compositore che ha attraversato con successo oltre sei decenni di storia musicale italiana, con intuizioni che lo hanno portato con Drusilla Foer alla terza illuminazione geniale nell’arco della sua vita professionale: già autore di migliaia di jingle pubblicitari, musica per il cinema e per la televisione dagli anni ’60 agli anni ’90 del secolo scorso (per questo soprannominato Mr Jingle), ha poi generato il movimento hip hop italiano, del quale lui e la sua Best Sound sono stati il fulcro per oltre 20 anni nei due decenni a cavallo del terzo millennio, arrivando nel 2015 a Drusilla Foer, della quale ha intuito l’enorme talento e unicità artistica fin dal primo momento. 

 

Godi è colui che ha desiderato tanto quanto Drusilla la realizzazione di DRU, la cui uscita è la prima dopo dieci anni siglata con la sua storica etichetta Best Sound. A proposito del lavoro svolto e del risultato raggiunto Franco Godi dice: “Mi piaceva l’idea di un album slegato da tempi e mode del momento, soprattutto suonato e arrangiato con creatività e ricchezza di sfumature, cucito su misura per Drusilla. Lei e io ci troviamo spesso in totale sintonia nel riconoscere le canzoni che ci piacciono, non solo perché sono belle canzoni, ma perché le sentiamo in qualche misura necessarie ad esprimere l’estetica musicale che ci appartiene. Sento che abbiamo fatto un lavoro sincero, senza risparmiarci, insieme ad Andrea Benassai e ai musicisti in studio, che ringrazio, trovando sempre in BMG e in Dino Stewart dei partner entusiasti e propositivi, con uno sguardo curioso e in sintonia con le nostre scelte artistiche”.

 

Prodotto da Franco Godi con la storica etichettaBEST SOUND, DRU esce con BMG, in una preziosa confezione da collezione, disponibile in due formati e tre versioni diverse, corredate da testi e fotografie originali (Vinile in edizione limitata numerata e CD Maxi, del quale una limitatissima tiratura autografata è in vendita in esclusiva nello store IBS/Feltrinelli.it, tutte al link https://drusillafoer.lnk.to/DRU)

 

Drusilla Foer in concerto - Blue Note di Milano  

Giovedì 7 ottobre ore 20:30

Venerdì 8 ottobre ore 20:30

Sabato 9 ottobre ore 20:30

Ingresso: posto unico a sedere 55 euro + prevendita

Apertura porte ore 19:00 (possibilità di prenotare la cena contattando direttamente il locale)

 

IG drusillafoer

FBDrusilla Foer

YoutubeDrusillaFoer  Sito web  https://drusillafoer.com

fonte: Ufficio stampa Elena Pantera elena.pantera@pantarei.me

Libri: "A volte si sogna" di Gigliola Cinquetti

«È lei, Gigliola Cinquetti?»
«Sì.» Ricevette un piccolo sorriso incoraggiante.
«Sono Luigi» si presentò, ma lei non lo riconobbe. Notò gli occhi scuri e l’impermeabile bianco.
«Io la odio. Lei rappresenta tutto quello che io detesto. È falsa, ipocrita, perbenista. Volevo dirglielo in faccia. Ci tenevo molto. Per me la sincerità è tutto. Arrivederci.»

Appena dopo il Festival di Sanremo 1964, l’anticonformista Luigi Tenco si avventa con veemenza sulla giovanissima vincitrice che ha appena sbaragliato tutti con la sua voce limpida e potente, e con la sua innocente freschezza, ancora in boccio, cantando Non ho l’età. Ma è davvero, quella ragazza di Verona, “falsa, ipocrita, perbenista”? 
 
Per la prima volta, in questo sorprendente romanzo autobiografico, Gigliola Cinquetti svela al pubblico il proprio variegato mondo interiore, la personalità appassionata e combattiva, l’attitudine sempre curiosa. È un racconto letterario, coinvolgente, larger than life, in cui una ragazzina, camminatrice e lettrice accanita, innamorata dell’Iliade, dopo anni di lezioni pomeridiane di musica si ritrova proiettata nell’Empireo del successo, inconsapevole della società che la circonda e soprattutto delle etichette che le cuciono addosso. 
 
Da chi la giudica retriva e antipatica a chi la vede come una madonna, arrivando a metterle un neonato in braccio. Come trascinata da un fiume in piena, lei, con le sue canzoni, comincia a girare il globo dalla Francia al Giappone, dalle cascate del Niagara al Cile. Ed è proprio questo peregrinare ad aprirle la mente, a formarle opinioni politiche. Perché tutto può avere un significato politico, spesso per lei anche scomodo. 
 
Nel frattempo la vita si prende la propria parte: lei incontra Luciano, prima scandaloso convivente more uxorio, poi marito amatissimo e padre dei suoi figli. C’è chi nasce e c’è chi muore. Ma la malìa del suo canto è la costante di tutto, anche quel giorno in tempi recenti, quando in barca fra le isole croate le sue alte frequenze attirarono i delfini..
 

lunedì 4 dicembre 2023

FIESTA la commedia tributo a Raffaella Carrà, sarà al Teatro Di Rifredi di Firenze dal 28 dicembre al 1 Gennaio.

Torna la commedia tributo a Raffaella Carrà e alle sue canzoni. Dopo 20 anni Fabio Canino riporta in scena uno spettacolo spassoso in cui ci si diverte riflettendo sul mondo gay e su argomenti di attualità, dalla politica alla religione.

Nel 2001 nasce Fiesta, il primo progetto teatrale in assoluto dedicato a Raffaella Carrà. Dopo 20 anni Fabio Canino riporta in scena questa commedia esilarante che ebbe un grande successo di pubblico per tre stagioni di fila.

Battute ironiche e auto-ironiche, dialoghi serrati e pungenti, satira di costume e tanta, tanta musica, sono il cuore della particolare Fiesta organizzata da tre amici gay, per celebrare l’amatissima Raffaella Carrà. Buon compleanno Raffa! E Raffaella c’è, idolo “immortale”, mito da portare stampato sulla propria maglietta, simulacro a cui dedicare un angolo votivo nella propria casa.

Padrone indiscusso della scena Fabio Canino, affiancato da Mariano Gallo, Sandro Stefanini, Simone Veltroni, Samuele Picchi (nel ruolo di un etero al “150%”), per una pièce originale che coinvolge direttamente il pubblico in sala, offrendo la possibilità agli spettatori di scegliere il finale fra tre diverse possibilità.

BIGLIETTI
https://teatrodellatoscana.vivaticket.it/it/event/fiesta/223371

fonte: www.teatrodellatoscana.it

Libri: "C'era Una Volta In Italia. Gli Anni Sessanta" di Enrico Deaglio

Tutti sono concordi: non c'era mai stato niente come quel decennio, e quelli successivi non avrebbero potuto essere senza di loro. Gli anni sessanta, primo volume di una storia italiana che arriverà fino ai giorni nostri, vivono ancora adesso nella nostalgia e nel mito: nelle canzoni trasmesse alla radio, negli armadi o nelle cantine dove non ci si riesce a liberare di un eskimo o di una vecchia minigonna di pelle scamosciata, o nei cassetti dove ricompaiono gettoni del telefono, monete da dieci lire, biglietti di concerti, il congedo illimitato provvisorio, copertine di 45 e di 78 giri... 

La stragrande maggioranza degli italiani di oggi è nata dopo la guerra, tutti dunque, direttamente o dai racconti di chi c'era, sappiamo qualcosa di quel "decennio favoloso" che ci ha visto camminare insieme a Fellini, Visconti, Togliatti e Moro, Mina, Monica Vitti, Claudia Cardinale, Rita Pavone, Catherine Spaak; correre insieme ad Abebe Bikila e Gigi Riva, leggere insieme a Italo Calvino, Leonardo Sciascia, Natalia Ginzburg e Gabriel García Márquez. 

Mentre crescevamo, sono morti il campionissimo Fausto Coppi, il papa buono Roncalli, il presidente americano John Kennedy e suo fratello Bob; persone che avrebbero cambiato l'Italia come l'utopista Adriano Olivetti e l'industriale visionario Enrico Mattei. Sono morti anche il comandante Guevara, monaci buddhisti in Vietnam, il pastore Martin Luther King e Jan Palach, il prete con gli scarponi don Milani; altri crescevano senza essere visti, i Buscetta, i Sindona, "la linea della palma". 

Ci facevano paura con la bomba e le guerre, ma ragazzi e ragazze incominciarono a dire "basta", il cinema e la musica erano avanti (e di molto) sul mondo antico che ci governava, fatto di vecchi generali, vecchi politici, vecchi magistrati, vecchi professori, vecchi fascisti che trovarono, alla fine di quella favola, il modo di vendicarsi. E fecero scoppiare la bomba di Milano, con cui gli anni sessanta finirono. E non ci fu più l'innocenza. E dire che, prima, almeno per un attimo, tutto il futuro era sembrato possibile. 

fonte: www.hoepli.it

lunedì 27 novembre 2023

Libri: "Non giudicarmi" di Anna Kanakis

Un romanzo storico capace di restituire con esattezza e lirismo la vera voce di un personaggio realmente esistito e che tuttavia si dimostra in grado di travalicare il tempo.

È il 5 novembre del 1923. Il barone Jacques d'Adelsward Fersen sta tornando a casa, a Capri, nel suo buen retiro: Villa Lysis. Jacques è un uomo enigmatico e insoddisfatto: cocainomane, omosessuale, è un reietto, un diverso. La sua vita, benché luccicante e sofisticata, è una continua lotta contro i suoi demoni: gli mancava il talento per diventare lo scrittore che avrebbe voluto essere, ma è soprattutto la sua omosessualità ad avergli provocato un isolamento dalla famiglia, il carcere e una profonda malinconia. 

Ora, in quello che sembra a tutti gli effetti un simbolico ritorno al proprio io interiore, lo ritroviamo assieme ai suoi due amanti, Nino e Manfredo: il primo, compagno di una vita, è stato un ragazzo di strada, un manovale, e si prende cura di Jacques con compassione e affetto; il secondo, più capriccioso e volitivo, è un giovane talmente delicato da essersi guadagnato l'appellativo di "fauno". 

Durante il viaggio non mancheranno gli incontri con amici del passato, ma anche con i fantasmi di un tempo che, alimentati dall'astinenza forzata dalla cocaina, tornano a tormentare il protagonista e provocano in lui allucinazioni, ossessioni negative, baratri emotivi. Una domanda assilla Jacques: è possibile riscattarsi almeno alla fine? Cosa può fare un uomo per sottrarsi alla condanna degli altri e alla sua stessa mediocrità? 

Un romanzo storico capace di restituire con esattezza e lirismo la vera voce di un personaggio realmente esistito e che tuttavia si dimostra in grado di travalicare il tempo: perché poco e niente sembra essere cambiato da quando Jacques Fersen, barone d'Adelsward, vagava per Capri sotto lo sguardo sdegnato della gente. Un libro feroce, commovente, raffinatissimo, che ci consente di decifrare un dolore che ci riguarda e ci appartiene ancora oggi. 

Anna Kanakis, attrice, politica e scrittrice nata in Sicilia, da padre greco e mamma messinese. Un orgoglioso miscuglio di Magna Grecia e italianità. È stata Miss Italia nel 1977, poi modella e in seguito attrice dal 1989. La "diversità" è l'elemento che descrive meglio il suo lavoro e la sua carriera. Entrare e uscire dalle vite di personaggi dissimili, per tradurne la psicologia e sfiorarne l'anima, è sempre stata una passione e una sfida. La scrittura, invece, una passione segreta. Con Marsilio ha pubblicato Sei così mia quando dormi (2010) e L'amante di Goebbels (2011). Con La nave di Teseo è uscito nel 2022 Non giudicarmi.
Muore nel 2023 a Roma, dopo una breve malattia, a 61 anni.

fonte: www.ibs.it

Libri: "Romanzo senza umani" di Paolo Di Paolo

Più o meno tutti, come Barbi – il protagonista – siamo riusciti a deludere un vecchio amico, a tiranneggiare qualcuno ingiustamente. Più o meno tutti, come lui, non siamo stati all’altezza di una storia d’amore, né abbastanza riconoscenti con chi lo meritava. Ci siamo fatti dimenticare. O peggio, ricordare nel modo sbagliato. Può esserci una seconda occasione?

«Tutto è clima, ci dice Di Paolo, lasciandoci un’ultima domanda su cui meditare: “Perché si è raffreddato tutto?"» - Lisa Bentini per Maremosso

Un uomo cammina lungo le rive di un grande lago tedesco. È partito all’improvviso, dopo avere provocato una serie di “incidenti emotivi”, come lui stesso li definisce. È ripiombato nella vita di persone che non vedeva da tempo. Ha risposto a email rimaste lì per quindici anni, facendo domande fuori luogo. Ha provato a riannodare fili spezzati. Mauro Barbi, storico di professione, cerca di aggiustare i ricordi degli altri – le persone che ama e ha amato – proponendo la sua versione dei fatti. Cerca di costruire una “memoria condivisa” che lo riguarda. Ma che impresa è? 

Forse c’entra una Piccola era glaciale privata, un processo di raffreddamento che ha spopolato la sua esistenza. Dove sono Fiore, Arno, il vecchio Cardolini, Meri, la Ragazza belga di Madrid? Dov’è Anna? Dove sono tutti? Forse il lago a cui ha dedicato anni di studio può dargli le risposte che cerca. Vede, anzi immagina, l’immensa lastra di ghiaccio che lo copriva da sponda a sponda quattro secoli e mezzo prima. Il sole pallido su una catasta di uccelli morti. 

Un lunghissimo inverno che travolse l’Europa con i suoi venti polari, le grandinate furiose, le inondazioni. Una remota stagione estrema che faceva battere i denti, perdere la speranza, impazzire. Come se ne uscì? Come se ne esce? Le immagini del passato ci ingannano sempre. 

Barbi prova a rientrare nel presente, con tutta l’ansia e la fatica che richiedono i gesti semplici. Uno in particolare potrebbe cambiare tutto. In questo suo "Romanzo senza umani", dove gli umani sono a fuoco più che mai, Paolo Di Paolo interroga i disastri climatici delle nostre singole vite. Gli anni senza estate, i desideri furiosi come acquazzoni tropicali, le secche della speranza, il gelo che intorpidisce e nasconde. E poi il disgelo, che finalmente riporta alla luce. Che cosa ricordano, gli altri, di noi?

Paolo Di Paolo, scrittore italiano. Nel 2003 entra in finale al Premio Italo Calvino per l'inedito, con i racconti "Nuovi cieli, nuove carte". Ha pubblicato libri-intervista con scrittori italiani come Antonio Debenedetti, Raffaele La Capria e Dacia Maraini. È autore di Ogni viaggio è un romanzo. Libri, partenze, arrivi (2007), Raccontami la notte in cui sono nato (2008). Ha lavorato anche per la televisione e per il teatro: "Il respiro leggero dell'Abruzzo" (2001), scritto per Franca Valeri; "L'innocenza dei postini", messo in scena al Napoli Teatro Festival Italia 2010. Nel 2011 pubblica Dove eravate tutti (Feltrinelli, vincitore del premio Mondello, Superpremio Vittorini e finalista al premio Zocca Giovani), nel 2012 nella collana di ebook "Zoom" Feltrinelli La miracolosa stranezza di essere vivi. Nel 2013 con Mandami tanta vita (Feltrinelli), è finalista al Premio Strega 2013. Nel 2016 pubblica con Einaudi Tempo senza scelte e con Feltrinelli Una storia quasi solo d'amore. Altre sue pubblicazioni: Lontano dagli occhi (Feltrinelli, 2019), I classici compagni di scuola (Feltrinelli, 2021) e Romanzo senza umani (Feltrinelli, 2023). 

fonte: www.ibs.it

Maggio Fiorentino: La bohème Giacomo Puccini 29 novembre 2023

Ripresa dello spettacolo andato in scena nel settembre 2017 e poi ancora fra il dicembre 2019 e il gennaio del 2020, applaudita sia dalla critica che dal pubblico, torna sulle scene del Maggio una fra le più amate opere del repertorio italiano: La bohème, il capolavoro di Giacomo Puccini, su libretto di Giuseppe Giacosa e Luigi Illica, ispirato al romanzo di Henri Murger Scènes de la vie de bohème

Firmata dalla regia di Bruno Ravella, ripresa in quest’occasione da Stefania Grazioli, l’allestimento trova Rodolfo, Mimì, Marcello, Musetta e gli altri protagonisti nella Parigi della fine del XIX secolo: lo spaccato della soffitta di Rodolfo e Marcello, dove si ambienta il primo quadro dell’opera, è semplice e essenziale negli spazi, mentre nel secondo quadro a dominare la scena è un grande semicerchio ricco di luci, con lo scheletro della soffitta del primo quadro che diventa la struttura del celebre Café Momus. 

Anche il terzo quadro è minimalista nella sua struttura: l’ambientazione della scena ambientata a La Barriera d'Enfer è formata da una piccola costruzione in legno, una sbarra e una panchina. Le scene, curate da Tiziano Santi, sono ben curate ma non oltremodo realistiche, in modo così da non mostrare un semplice ritratto fotografico dell’epoca in cui è ambientata la produzione, volte dunque più a ‘suggerire’ gli spazi piuttosto che a mostrarli come appunto in una fotografia.

Allestimento del Maggio Musicale Fiorentino

fonte: www.maggiofiorentino.com

Firenze: Alphonse Mucha. La seduzione dell’Art Nouveau, al Museo degli Innocenti, fino al 7 aprile 2024

Dal 27 ottobre 2023 al 7 aprile 2024 il Museo degli Innocenti accoglierà la prima mostra a Firenze dedicata ad Alphonse Mucha, il più importante artista ceco, padre dell’Art Nouveau e creatore di immagini iconiche.

Alphonse Mucha nasce a Ivancice, nella Repubblica Ceca, nel 1860.
Fervente patriota e sostenitore della libertà politica dei popoli slavi, si dedica all’arte e nel 1887 si trasferisce a Parigi dove affina le sue arti e incontra la donna che cambierà per sempre la sua vita, Sarah Bernhardt, l’attrice più bella e famosa dell’epoca, che affida a Mucha la sua immagine rendendolo popolarissimo.  

Nasce il mito delle “donne di Mucha”, e le aziende se lo contendono per reclamizzare i propri prodotti, dando vita alle intramontabili campagne pubblicitarie come quella del cioccolato Nestlé, dello champagne Moët & Chandon, e ancora delle sigarette, della birra, dei biscotti e dei profumi.
Mucha però non dimentica l’impegno patriottico e sociale. Nel 1910 torna a Praga e si dedica per quasi venti anni a quello che è considerato il suo più grande capolavoro, l’Epopea slava, opera colossale composta da venti enormi tele in cui racconta i principali avvenimenti della storia slava.
Mucha morirà a Praga nel 1939.

Tra fine ottocento e inizio novecento Parigi era considerata il centro del mondo dell’arte. È la cosiddetta Belle Époque, c’è un grande entusiasmo, e Alphonse Mucha, anche grazie all’incontro con Sara Bernhardt, diventa il più famoso e conteso artista dell’epoca.  Le sue opere, le sue illustrazioni, i poster teatrali e la nascente pubblicità sono accessibili a tutti.  Nasce con lui una nuova forma di comunicazione: la bellezza di fanciulle in fiore, ritratte in una commistione unica tra sacro e profano, voluttuose e seducenti figure, rappresentate con uno stile compositivo unico, sono diventate caratteristiche del famoso “stile Mucha”.
Le sue immagini diventano subito famose in tutto il mondo, il suo stile è il più imitato, la potente bellezza delle sue donne entra nell’immaginario collettivo di tutti.

È a questo grande artista che Arthemisia e il Museo degli Innocenti dedicano la prossima grande mostra fiorentina.
Con il patrocinio del Comune di Firenze e dell’Ambasciata della Repubblica Ceca, la mostra è organizzata in collaborazione con la Fondazione Mucha e In Your Event by Cristoforo ed è curata da Tomoko Sato con la collaborazione di Francesca Villanti.

La mostra vede come sponsor Generali Valore Culturapartner Mercato Centrale FirenzeI GigliSamsonite e Unicoop Firenzemobility partner Frecciarossa Treno Ufficialemedia partner QN La Nazioneeducational partner Laba technical support Mucha Trail e Prague City Tourism

INFORMAZIONI

fonte: www.museodeglinnocenti.it

A Firenze la mostra record d’incassi dedicata a “ESCHER”. Fino al 7 maggio 2023

A Firenze arriva dal 20 ottobre la mostra record d’incassi dedicata a “ESCHER”.

Oltre 200 opere saranno ospitate in una sede espositiva unica, negli spazi dello storico Museo degli Innocenti che, grazie alla collaborazione con Arthemisia, è diventato un punto di riferimento del capoluogo toscano come sede di grandi mostre d’arte.

La grande mostra dedicata al geniale artista olandese Maurits Cornelis Escher arriva al Museo degli Innocenti di Firenze dal 20 ottobre 2022 al 7 maggio 2023.

Scoperto dal grande pubblico negli ultimi anni, Escher è diventato uno degli artisti più amati in tutto il mondo, tanto che le mostre a lui dedicate hanno battuto ogni record di visitatori.

Escher nasce nel 1898 in Olanda e vi muore nel 1972. Nel 1922 visita per la prima volta l’Italia, dove poi visse per molti anni, visitandola da nord a sud e rappresentandola in molte sue opere. Inquieto, riservato e indubbiamente geniale, Escher nelle sue celebri incisioni e litografie crea un mondo unico, immaginifico, impossibile, dove confluiscono arte, matematica, scienza, fisica, design.

Un’antologica – con circa 200 opere e i lavori più rappresentativi che lo hanno reso celebre in tutto il mondo – che racconta il genio dell’artista olandese con le opere più iconiche della sua produzione quali Mano con sfera riflettente (1935), Vincolo d’unione (1956), Metamorfosi II (1939), Giorno e notte (1938) e la serie degli Emblemata, che appartengono all’immaginario comune riferibile al grande artista.

La mostra di Escher si configura come il primo grande evento espositivo all’interno del complesso monumentale – progettato da Filippo Brunelleschi – che ospita il meraviglioso e ricchissimo Museo degli Innocenti che, con le mostre firmate Arthemisia, si è già avviato a essere sede di grandi mostre d’arte.

Nato per esporre le opere d’arte dell’antico Spedale, grande centro d’accoglienza per bambini, il Museo è stato trasformato in un percorso che permette di scoprire un patrimonio culturale unico al mondo perché profondamente legato all’attività svolta in favore dei bambini che non potevano essere scresciuti dalle famiglie d’origine.

Tra storia, arte e architettura, la collezione del Museo presenta opere acquisite tramite donazioni o in seguito all’accorpamento di altre istituzioni assistenziali e contiene alcuni capolavori di artisti di grande rilievo tra i quali Domenico Ghirlandaio, Luca e Andrea della Robbia, Sandro Botticelli e Piero di Cosimo, ma anche di artisti cresciuti agli Innocenti e avviati alla pittura dal priore Vincenzo Borghini come Vincenzo Ulivieri, Giovan Battista Naldini e Francesco Morandini (detto il Poppi).

Con il patrocinio del Comune di Firenze, dell’Ambasciata del Regno dei Paesi Bassi, la mostra è prodotta e organizzata da Arthemisia in collaborazione con la M. C. Escher Foundation e In Your Event, ed è curata da Mark Veldhuysen CEO della M.C. Escher Company – e Federico Giudiceandrea, uno dei più importanti esperti di Escher al mondo.7

INFO SU MOSTRA E BIGLIETTI

fonte: www.museodeglinnocenti.it

domenica 26 novembre 2023

Musica: Madonna è tornata, celebrazione per 11mila ad Assago

40 anni di carriera live, Donatella Versace a sorpresa sul palco 

The Queen of pop is back: è un trionfo, ad Assago, la prima delle due date italiane del Celebration Tour, il dodicesimo tour di Miss Ciccone, il primo senza un nuovo album.

Una 'celebration', appunto, dei quarant'anni di carriera della popstar più influente del mondo, che a 65 anni è tornata dal vivo a rivendicare il suo ruolo di icona in uno show di 2 ore - iniziato con più di un'ora e mezza di ritardo - che spazia nel suo intero repertorio musicale.

Operazione sul filo dichiarato dell'amarcord che conquista gli 11mila e passa di Assago, che hanno avuto 8 anni per prepararsi al ritorno dal vivo della star e si sono presentati con giepiere e calze a rete, guantini di pizzo e crocifissi al collo. Tra gli ospiti della serata, che raddoppia il 25 novembre, Giorgio Armani, Donatella Versace, Stefano Gabbana, Angelina Mango, Elodie, Gianluigi Buffon e Marco Mengoni. 

Decennale il rapporto di Madonna con la moda italiana: testimonial sia di Versace sia di Dolce e Gabbana, nella sua lunga carriera ha indossato sia le loro creazioni sia capi di Giorgio Armani. 

"Sono felice di essere qui, mi siete mancati" dice Madonna in italiano agli 11mila di Assago, spiegando poi in inglese che "questo non è un concerto qualunque, ma un viaggio nella mia vita attraverso la mia musica e i miei figli", sul palco con lei. "Non bisogna mai dimenticare da dove si viene" sottolinea l'artista, che per spiegare il concetto mostra al pubblico la versione di sé giovane e timida e ricorda di quando disse al padre che voleva andare a New York a fare l'artista e lui le rispose in italiano 'pazza, pazza, pazza'. 

Su un palco spettacolare, con piattaforma circolare a forma di torta nuziale a più piani, il concerto inizia da Nothing Really Matters, mai fatta dal vivo dal 1999, per poi passare alla hit del 1983 Everybody - suo primo singolo - e al dance-pop di Into the Groove. Ed è sulle note di Open your heart che Miss Ciccone ricorda i suoi inizi, chiamando i ballerini ad aiutarla a restituire il clima dei club degli anni'80, con tanto di balli sexy e baci gay sulle ali laterali dell'immenso palco aggettante sulla platea.   

Quando è tempo di Live to Tell, Miss Ciccone vola a bordo di una piattaforma mentre sugli schermi vengono proiettate le immagini dei tanti amici morti per Aids tra cui Keith Haring, Herb Ritts e Freddie Mercury. E poi via con una hit dietro l'altra, a partire da Like a Prayer, con tanto di finta processione e ballerini seminudi su una piattaforma rotante con crocifissi a visti, nella mai superata miscela di sacro e profano cara alla star. Tra un cambio d'abito e un intermezzo, si arriva alla riempi pista Hung Up che trasforma il Forum in una discoteca newyorchese, con Madonna tra le ballerine in topless con cui si scambia baci profondi. 

La figlia Mercy Jane al piano dà il tempo alla famosa mamma di riprendere fiato e la accompagna nell'esecuzione di 'Bad girl' mentre 'Vogue' è l'occasione di ricordare la lotta per i diritti Lgbt e chiamare sul palco l'amica Donatella Versace per una divertente sfida tra ballerini giudicati dalle due super bionde. 

Uno spettacolo totale, che non ripercorre solo una carriera, ma 40 anni di vita, non solo di Madonna, ma di tutti quelli che ne hanno seguito evoluzioni e cambiamenti fino alla forma attuale, consapevoli di quanto miss Ciccone abbia contribuito con la sua musica e la sua presenza al mondo come è oggi. 

fonte: di Gioia Giudici www.ansa.it  RIPRODUZIONE RISERVATA © Copyright ANSA - Tutti i diritti riservati